C'est une période tellement étrange pour être en vie.
Alors que le monde entier était témoin d’images poignantes d’incendies de forêt
Apparemment insensible au sort de
La raison? Argent.
Meta refuse de bouger car cela signifierait qu'elle devrait payer les fournisseurs de nouvelles nationaux pour partager leur contenu sur sa plateforme en vertu d'une nouvelle loi adoptée par le gouvernement canadien. Sans parler du fait que la loi est calquée sur des réglementations similaires en Australie, où Meta a cédé aux demandes du gouvernement après avoir échoué à sortir de la situation.
Frustré par les pitreries de Meta, le gouvernement canadien continue de soutenir que «
La réponse de Meta ? "Euh... on s'en fiche." Eh bien, pas littéralement, mais un porte-parole de la société a souligné un certain nombre de « fonctionnalités » qui pourraient être mieux adaptées aux utilisateurs à la lumière des incendies de forêt qui font rage. Par exemple, le « Safety Check » de Facebook qui permet aux utilisateurs de s'évaluer en sécurité en cas de catastrophe naturelle ou de crise.
Alternativement, Meta a suggéré aux utilisateurs d'obtenir simplement leurs informations sur les pages officielles des agences gouvernementales, des services d'urgence et des organisations non gouvernementales. Genre, qui a besoin d'éditeurs de presse, amirite ? Mais plus important encore, Meta a
Quel mauvais? Eh bien…. Selon un organisme de surveillance budgétaire indépendant au Canada, les éditeurs de presse pourraient recevoir environ
Replaçons un instant ces 250 millions de dollars par an dans leur contexte. En 2022, Meta a généré un bénéfice net de 23,2 milliards de dollars pour l'année, soit près de 93 fois plus que ce que Meta devrait payer aux éditeurs de nouvelles au Canada s'il acceptait de partager des nouvelles sur sa plateforme. Les 250 millions de dollars par an sont également bien inférieurs aux 13,7 milliards de dollars que l'entreprise a dépensés rien qu'en 2022 pour réaliser le fantasme étrange du PDG Mark Zuckerberg :
Mais oh non, payer les éditeurs de presse canadiens est le problème et tout simplement une mauvaise affaire. Bien sûr!
Dans le passé, le Premier ministre canadien Justin Trudeau avait déjà qualifié les arguments de Meta de erronés et de « dangereux pour notre démocratie et notre économie ». Pour l’instant, les deux camps restent engagés dans une bataille pour voir qui cligne des yeux en premier.
Meta, Facebook et Instagram occupaient chacun une place dans le top 20 de HackerNoon.
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— Sheharyar Khan, rédacteur en chef, Business Tech @ HackerNoon
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